28 septembre : l’UNSA mobilisée pour le droit à l’avortement
À l’occasion de la journée du 28 septembre, journée internationale pour le droit à l’avortement, l’UNSA réaffirme son engagement sans faille dans la défense du droit à l’IVG.
À l’occasion de la journée du 28 septembre, journée internationale pour le droit à l’avortement, l’UNSA réaffirme son engagement sans faille dans la défense du droit à l’IVG.
Elle rappelle que ce droit fondamental est régulièrement remis en cause par certains gouvernements.
L’UNSA demande l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution française et, avec la CES revendique qu’il soit inscrit dans la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
L’UNSA rappelle que même en France, la baisse des infrastructures et du nombre de praticiens empêche de faire valoir le libre droit de chacune à l’IVG, notamment dans les zones rurales.
Force est de constater que la prévention, la formation et l’information sont mises à mal depuis de nombreuses années. Les obligations légales de formation sont peu appliquées. Il est également urgent de renforcer l’éducation des élèves en termes d’éducation sexuelle.
L’UNSA continue et continuera à se mobiliser aux côtés de toutes celles et ceux qui luttent pour leurs droits, en demandant notamment :
l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution française ;
avec la CES, son inscription dans la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne ;
le retrait de la clause de conscience spécifique des médecins
l’amélioration de l’éducation auprès des élèves.
A ce titre, l’UNSA aux côtés de nombreuses associations et organisations syndicales appelle aux rassemblements et mobilisations qui auront lieu le 28 septembre partout en France pour que l’avortement soit reconnu comme droit fondamental.